•  

    Hier j'ait corriger sa pour un gars pas fortiche en aurtographe...

    GAMER13008 qui s'appelle...

    Date heure et compagnie...


     

    Sur skype, retour de la correction

    Le mardi 30 août 2011 à 0:15 heure locale (premier edit)


     

    Bienvenue à Gwendalavir, royaume de magnifiques poètes et écrivains fantastiques écrivant des chefs d’œuvres tous les jours, ici les arts se développent librement sans avoir d’interdis, plus de pauvreté, plus de banditisme, les mages de la ville d’Alinoar avait bel et bien réussi la paix des dieux, la PAX DIVINA, c’étai en grande partie grâce à mois, sans me vanter j’avais obtenu au fil des années passées à servir les hautes sphères, à intégrer les grands du royaume, chacun des grands du royaume devait impérativement diriger une ville, moi, à la hauteur de ma tache, on me confia Alinoar la sage, la ville millénaire et berceau des arts qui affluaient ici depuis tout le royaume, tel de nombreux fleuves s’écoulant dans un océan…

    Chaque grand du royaume avait la garde de sa ville jusqu’a sa mort, ce qui avait poser bien des problèmes dans la passé de Gwendalavir, mais aujourd’hui les assassina, les meurtres inutiles et les vols n’était plus d’actualité, chacun avait accepté sa place et ne cherchait qu’a monter dans la hiérarchie qui faisait loi ici.

     

    Aujourd’hui, je vais faire comme de nombreuses autres personnes l’on fait auparavant… Je vais enfin obtenir le rêve de tout habitant, une place dans le marbre de l’histoire, pas sur les pages fades d’une bibliothèque mais bien dans le marbre vert de la grande place d’Alinoar, entrée de la neuvième sphère du pouvoir, le commandement ultime, un cercle de sages et d’hommes importants ainsi que le grand empereur…

     

    On scande mon nom, on me glorifie enfin, la foule hurle te m’acclame, de ma hauteur, je contemple la ville, ma ville, fruit de mes labeurs et de ceux du peuple, désormais, ils se souviendront de mon nom, toujours… Tandis que lentement les grilles de la sphère s’ouvrent, je regarde le marbre vert sur le sol, aussi appelé pierre vivante, la pierre des dieux, lentement, les lettres de mon nom s’y affichent, lentement mon nom se grave dans l’histoire.


    Sans plus attendre, on me dirige dans le temple, sur mon passage les grands commandeurs me saluent et me félicitent, les portes du temple s’ouvrent  et je m’y engouffre… Dernière étape, dernier pas… Devant moi se dresse un étrange portail de pierre noire, un noir profond et sans reflet qui m’intrigue et où l’on pourrait se perdre. Au centre, une cascade d’eau tombe lentement comme si le temps y était ralenti, alors l’empereur se trouvant derrière me dit…

    • Ceci est la porte de la vie, je pense que tu as déjà entendu parler de nombreuses légendes sur celle ci, mais je pense aussi que ce n’est que maintenant que tu réalise que le mythe n’en était pas un…

     

    Je le sais bien, il ne faut parler en aucun cas durant la cérémonie, je connais ce portail, je sais que en passant au travers, le vieillissement est réduit et la vie bien plus longue… La porte de la vie, don des dieux.

    Je m’y avance lentement, quelques pas et je me trouve face au rideau d’eau qui tombe au ralenti, lentement, la couleur change du vert au bleu vivace et clair, trop clair. Partout dans la salle, les mages parlent entre eux, auparavant très calme, un brouhaha commence lentement à se déployer dans le temple, je regarde le rideau, un mage s’avance vers moi et me crie de ne pas y entrer, il me crie que quelque chose ne va pas avec la couleur de l’eau.


    Sans écouter les cris je m’y engouffre. Alors je sens une énergie transpercer mon corps, la douleur est la, présente mais elle s’évanouie rapidement, je me sens comme aspiré par un vortex, d’ailleurs, comment je peut le savoir, il n’y a pas de vortex a Alinoa…

     

    Une plage calme se déroule devant moi, rien d’autre que du sable, de l’eau et des maisons au loin, pas si loin. Une femme arrive et me demande qi c’était moi qui suis arrivé par l’éclair qui venait de frapper ici, en regardant le sol, je vois une vieille lueur bleu familière, quoi qu’il en soit je me tourne vers elle et lui dit :

         -      Bonjour.

     

    Lentement, le nom se retire de la pierre verte, le nom qui devait être gravé pour l’éternité n’est plus ici, la pierre le sait tout comme les dieux, elle se retire et il ne reste plus aucune trace du nom glorieux…

    Juste une lettre…

     

    X.

     

    Ecriture by GAMER13008, correction des fautes par Xaryi


    1 commentaire
  • Vive les vortex qui me forcent à écrire.


    le vendredi 3 juin 2011 à 16:52 heure standard sur le blog de Cieletenfers


     Malheureusement, le blackout risque d'être inévitable si les maximum solaires atteignent les mesures prédites par la NASA , comme auparavant, des états entiers risque d'être privés d'électricité ce qui est intolérable pour les hôpitaux et les services comme les centrales nucléaire qui demandent un apport en énergie constant.

    Durant ce siècle, les maximums solaires atteindrons les plus hautes puissances jamais atteintes et fréquences.
    Les maximums solaire provoquent un augmentation de la fréquence des éruptions solaire, produites quand deux arcs (colonnes solaires) se croisent, une énergie phénoménale en dégage ce qui crée une sorte d'IEM qui neutralise les circuits et courants électriques. 
    la NASA tente de les mesurer et développe en ce moment  des instruments de mesures insensible à ces éruptions solaires qui libèrent une énergie trop forte pour les précédents satellites de mesure.
    En plus de tout cela, comme cité dans mon précédent message, les pôles magnétiques qui protègent la terre de certaines radiations sont en train de s'échanger, non pas que vos boussoles indiqueront le nord à la place du sud et vice versa mais les radiations (lumineuses entre autre) passeront plus facilement, ce phénomène à déjà été observer auparavant...
    dans... 
    Des carottes ! Non sans rire, dans les carottes p o l a i r e s, c'est à dire des fragments de glace tubulaires de milliers d'années prélevés dans des glaces millénaires aux pôles magnétiques (sud et nord :D), en effet, les variations magnétiques sont prises au piège dans de la glace. D'après cela, il y aurais déjà eu des inversions des pôles.
    Donc il auras plus de blackout  mais pas aussi souvent que sa, mais ils seront plus intense et plus fort que jamais  (comme le Nespresso).
    Les signes ? Les portables passeront moins bien, coupures de réseau, étrange comportement des oiseaux (regardez bien les pigeons !) mais faible quand même, et le plus important, coups de soleil plus fort et extrêmement rapides, ainsi que des cancers de la peaux virulent, alors n'oubliez pas la crème solaire sinon...

    votre commentaire
  •  

    Voila depuis longtemps que je fait ce RP j'aurais déja dut le poster...

    Date heure et compagnie.


    Sur le forum de RPG l'Autre (Pierre Bottero)

    ►Le dimanche 27 Mars 2011 à 10:17 heure standard

    Lien:  http://lautre-rpg.1fr1.net/t361-une-prarie-infini-un-esprit-tourmente-ezio-aieton




     Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]

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    Nayla Sasayaki
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    MessageSujet: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Sam 19 Fév - 12:54 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant

    [Bon sang, ça fait si longtemps que j'ai pas RP avec elle, je sais pas comment commencer u_u]


    Les pulsions qui la pousssaient, dès qu'elle se métamorphosait, à devenir puma se faisaient de plus en plus fortes. Nayla s'appliquait à ne jamais céder, mais devenir félin contribuait à appauvrir ses possibilités. Elle savait qu'un jour, quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait plus devenir que puma. Elle adorait cette forme, vraiment, c'était un animal magnifique - le sien plus que les autres avait-elle l'impression - mais voler était aussi une expérience magique, incroyable dont elle n'avait pas envie d'être privée.

    L'adolescente s'étira, passa devant un miroir et s'étonna elle même de à quel point elle avait changé. Récemment, elle avait conservé des liens avec sa famille adoptive, malgré ce que lui avait dit Stella sur le fait que les Familles ennemies aux Métamorphes. En fait, elle était devenue beaucoup plus libre, indépendante, et n'avait pas vraiment encore cherché à faire connaissance avec d'autres Métamorphes. D'abord, elle voulait se comprendre. Se chercher. Accepter ce qu'elle était devenu, savoir où était le juste milieu. C'était chose faite. Enfin, elle pensait.

    Nayla quitta son reflet et sorti dans la rue. S'arrêta avant de l'atteindre. Une porte se dessinait sur un mur. La jeune fille sourit, su sans même prendre la peine de regarder autour d'elle qu'elle était seule. Elle avança, ouvrit la porte et y disparu pour se retrouver ailleurs. Complètement ailleurs.

    La Maison dans l'Ailleurs.

    Elle avait fini par s'y habituer. Elle ne savait toujours pas quel était cet ailleurs, ce qu'il y avait au delà d'une prairie verdoyante infini, mais elle aimait bien cet endroit. Il était reposant, et elle n'y avait jamais fait de mauvaises rencontres. Mauvaises dans le sens où les personnes rencontrées auraient été agressives, porteuses de mauvaises intentions. Elle-même était pacifique. Elle pensait que la guerre entre les Familles étaient une connerie, une de plus à ajouter à la liste infini de bêtises commises par les hommes. Familles avec une majuscule ou pas, eux ne faisaient pas exception. Quoique, sans les Cogistes, peut-être que rien ne serait arrivé. Qui sait.

    Nayla empreinta un escalier. Elle connaissait désormais très bien la Maison. Par coeur, peut-être pas, elle continuait de découvrir. Elle ne pouvait pas y passer tout son temps non plus, et elle n'était pas Bâtisseuse. Mais elle aimait l'idée que ce lieu soit réservé aux Familles. Sans être égoïste, elle aimait savir un lieu réservé à certaines personnes seulement. Et cet endroit là était inviolable. Pas mal, non?

    La jeune fille arriva rapidement sur la Terrasse et observa tout le vert qui s'étendait autour d'elle. C'était ce genre de prouesses naturels qui lui donnaient l'impression que eux, humains ayant ou non des pouvoirs, n'étaient que des insectes dans le monde. Minuscules.

    Ici, il y avait du vent. Pas mal de vent. Je savais pour avoir déjà essayé qu'en m'éloignant de la Maison, ce vent disparaîtrait en grande partie, mais je devins oiseau tout de même. J'aimais voler, même si le paysage d'une prairie infinie n'est pas non plus la meilleure vue pour un oiseau. Je m'envolais, libre, prise de cette ivresse de la vitesse, du jeu avec les thermiques qui me portaient si haut, si facilement, cherchant de mon regard puissant de rapace quelque chose d'autre que du vert. Comme d'habitude, il n'y avait rien.

    Je restais pas mal de temps dans le ciel, tantôt m'éloignant de la Maison, tantôt y revenant pour me reposer. Les rapaces ne sont pas de nature vraiment endurantes. C'est alors que je remarquais un mouvement dans la Maison. Une autre personne. J'atteris en douceur au milieu de la terrasse. A découvert. Mais au moins, impossible de m'attaquer par surprise. Je redevins humaine, et devinait aussitôt à qui j'avais à faire.

    Un Métamorphe.

    Un Métamorphe que je ne connaissais pas.
     

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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Mer 23 Fév - 19:56 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

    Le cogiste tituba... Il regarda d'un regard vide Ezio avant de former une phrase incompréhensible, dont seulement quelques mots en ressortaient, faiblement, sa bouche s'ouvrit et il laissa jaillire: 
    -Tu est... mort.
    Il s’effondra lourdement sur le sol enneigé, Ezio parut s'en désintéresser rapidement et pivota d'un bloc vers une échelle pitoyable dans le fond de la ruelle...
    -Il est là, tuer le métamorphe ! 
    Une dizaine de cogistes s'engouffraient dans la ruelle, tandis qu'Ezio grimpait rapidement à l'échelle qui menaçait de rompre chaque secondes.
    "Mais que font-ils ici ? Il n'y avait jamais eut tant de cogistes dans Marseille !"
    Tandis que les questions tapaient dans sa tête, il arrivât sur le toit de tuiles d'un vieux immeuble.
    Il n'avait pas peur, au contraire, une confiance étonnante palpait dans ses veines tandis qu'il franchissait des écart entre les toits toujours plus grand.
    "Sont-ils vraiment cogistes ? Si oui alors pourquoi ne le ils n'allaient pas au contact comme le font tous les cogistes ?"

    -Tu ne trouve pas que ça fait beaucoup de questions pour ton cas ?
    Sbib, sont colibris volait près de lui...
    -Bien sûr mais je m'en p...
    Un bras lui coupa le souffle, Ezio fit une vrille et se retrouva face à un homme vêtu de blanc:
    -Bonsoir Ezio.
    -Qu.. Qui êtes vous ?
    Le mal tordait toujours sont ventre, le choc avait été brutal et les tuiles glacés.
    -Je suis ta mort...

    Sans attendre d'avantage, l'homme se projeta en avant avec une vivacité que sa taille ne laissait pas supposer.
    Rapidité sidérante, bien digne là du pourvoir ancestral des cogiste, un coup inévitable qu'Ezio évita de justesse sans recourir à la métamorphose. Il se réceptionna sur une cheminée ou il sonda les environs, plus aucun cogistes ne le suivait, seulement lui et sa mort.
    "La mort peut-elle mourir ?"
    Il allait le savoir.
    Un autre coup, puis deux, puis trois que Ezio parvenait mal à contenir, il n'avait jamais vu de cogiste aussi puissant.
    La mort frappa de sa mais plate, une formidable impulsion vint bousculer Ezio qui se plaqua contre les tuiles, 15 mètres plus loin...
    Lentement, l'homme se rapprochait d'Ezio tandis que la douleur hurlait dans tout sont corps.
    Il se transforma, non, tenta, il ne pouvait plus.

    -Inutiles efforts, lui lança la mort
    Il se recroquevilla, tenta encore...
    -Inutiles...
    Échoua.
    -Et ridicules
    "Apprend à voir le temps des choses, tout comme moi"
    Le coup de l'homme fusa quand la dernière consonne fut envolée, sa voie, auparavant rassurante avait pris une tournure aussi froide que les tuiles sur lesquels Ezio glissait.
    "Le temps des choses"
    Sur lesquels il... glissait.
    Sa main décrivit une courbe vers la jambe de l'homme en blanc, un coup d'entrainement destiner à une feinte, alors que la mort pensait recevoir un poing dans le côtes, contrairement à ce qu'il attendait, la paume d'Ezio vint percuter sont tibias.
    Sa jambe dérapa sur les tuiles gelés, il se retrouva en position de faiblesse, tentant de se rattraper pour ne pas chuter... Alors une masse plus blanche que sa veste le percuta, des griffes mille fois plus dangereuses que des rasoirs lui lacérèrent les épaules tandis qu'une mâchoire destructrice s'enfonça dans sa nuque.
    La mort bascula du haut de l'immeuble tandis qu'Ezio se servait du corps sans vie pour retomber sur le toit.
    Sans attendre, il fonça vers la villa "Domina" qui surplombait Marseille, à l'écart de la ville grouillante.

    Ezio sortit de la salle de bain, il avança dans le couloir en direction de sa chambre, c'est alors qu'il vit un imposant colt, un huit coups particulièrement meurtrier posé sur un étui en cuir noir, le regard d'Ezio se détourna du colt pour se fixer sur un porte lisse et massive sans aucune poignée, noire, sans aucun reflet mal grès les nombreuses appliques murales et les tubes de néons qui cheminaient sous le sol vitré.
    Ezio saisit le colt et s'avança vers l'énorme monument encastré dans le mur.

    -Pense-tu que c'est bien le moment de partir ?
    Sbib avait parlé, bien sur que Weïla ne l'avait plus vu depuis deux ans mais il devait s'y rendre, une certitude encrée profondément dans sa tête lui hurlait de d'y aller.
    -Elle comprendra...
    Sans attendre, il déposa sa main au centre de la porte noire; celle ci traça une contour bleu, un cercle autour de la main d'Ezio, bientôt suivi d'une multitude de symboles étranges.
    Dans un bruit de tremblement de terre, la porte s’enfonça doucement dans le sol, alors le sol fait de vitres laisser place à de nombreuses plaques de deux mètres dur deux qui semblaient fixés dans le sol rocheux.
    Plus loin, en avançant dans le couloir peut éclairé, sur les panneaux, de nombreuses armes en tout genres parcouraient les murs, des magnums, des mitrailleuses, des fusils d'assaut, M4A1, SCAR-H, P90...
    Encore plus loin, le couloir débouchait sur une salle imposante de majesté, trois énormes courbures métalliques parcouraient les parois arrondies de sorte qu'un énorme dôme de métal et de cristaux blancs surplombait la pièce. Les lumières semblant provenir de centaines d'endroit différents...
    Sans y prêter attention, Ezio descendu de la balustrade qui surplombait un irréaliste complexe mêlé de pierre polie et de métal sombre, au centre, une table de verre rétro éclairée sur lequel reposait un écran fin semblant venir d'un rêve, Ezio écrivit quelques caractères avant de se retourner de saisir Eïa, son sabre, posé sur un comptoir suspendu au mur, il le rangea dans un étui noir et le reposa immédiatement.
    Il s’habilla avec une tenue rangée soigneusement dans un renfoncement du mur.
    "Vite..."
    Après s'en être vêtu et avoir posé sa chemise sur le même comptoir, il fixa Eïa dans son dos et un colt, massif, autour de sa taille. Il fixa sur sa ceinture quelques sacoches.

    Ezio saisit son sac et avança dans le couloir, derrière lui, la porte massive e levait et interdisait l'accès au sanctuaire. Plus loin, il descendit dans un escaliers étroit qui débouché sur une terrasse en contrebas de la villa Domina, une vue magnifique sur une forêt de pins et plus loin, la mer d'un bleu profond et quelques îles au loin, la végétation était tel que la ville disparaissait complètement derrière.
    Il resta quelques secondes à contempler ce spectacle et tourna la tête en direction du mur d'où il venait de sortir, une lumière étrangement bleutée tracé les contours de ce qui ressemblait à une porte.
    "Plus vite..."
    Les contours se redessinèrent, une poignée commençait à se dessiner et bientôt un cadre blanc... Quelques secondes plus tard, Ezio pu distinguer une porte semblant venir d'un rêve et instable. Il posa une main sur le panneau de bois blanc et de l'autre, tourna lentement la poignée. La porte semblant déjà plus réelle, il la poussa.

    Les couloirs n'en finissait plus, des portes, encore, plus encore et presque aucun meuble... On passait de style à la mesure que les pièces défilaient et la lumière changeait tout autant. Ezio déboula dans une pièce gigantesque par rapport à toutes les autres, cela faisait bientôt deux heures qu'il marchait et il s'effondra sur un fauteuil de cuir vieilli. La pièce dans laquelle il se trouvait était immense, de plus, de nombreux meubles parcouraient les murs et un canapé ainsi qu'une petite table qui trônait en sont centre. Plus loin, une énorme terrasse surplombait une immense verdure, irréaliste. Un vent chaud rentrait par de larges baies vitrés complètement ouvertes.
    Ezio ferma les yeux, quelques secondes qui devinrent minutes...
    "Debout"
    La voie était un ordre.
    Ezio se leva, il marcha lentement vers la terrasse.

    Un métamorphe.

    Un métamorphe que je ne ne connaissais pas.


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    Dernière édition par Ezio Aiëton le Mar 8 Mar - 20:57, édité 3 fois (Raison : Finitions finales.)
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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Dim 13 Mar - 0:24 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant

    Un inconnu. C'était un parfait résumé. Il était jeune, bien que plus âgé qu'elle. Il était Métamorphe. Nayla s'approcha un peu, resta à bonne distance. Elle était trop jeune pour penser qu'il pouvait se sentir menacer, elle savait qu'il y avait la guerre entre les Familles, mais elle ne l'avait encore jamais constaté de ses propres yeux. Simplement, elle n'aimait pas s'approcher plus près que nécessaire d'un inconnu, ce qui était normal d'ailleurs.

    - Bonjour. Je m'appelle Nayla, et toi?

    Etrange, comme elle se sentait adulte. C'était comme un jeu. Mais intérieurement, et dans ses relations, elle était toujours jeune. Bon sang, la révélation de l'existance des Familles l'avait vraiment changée de façon bizarre! Elle avait un peu de mal à s'y retrouver.

    L'adolescente, en attendant la réponse de l'inconnu, s'approcha d'une espèce de début de pont qui partait de la terrasse et s'élançait au-dessus de la prairie sur quelques mètres avant de s'arrêter brusquement. Elle y grimpa un peu puis s'y assit, laissant ses jambes bouger doucement dans le vide. Elle savait que la Pratum Vorax était dangereuse, elle l'avait deviné assez facilement lors d'une de ses visites, mais avait quand même échappé de peu au triste sors qui est parfois celui de ceux qui ignorent la véritable nature de cette prairie faussement innoffensive. Elle aimait pouvoir ne voir que l'étendue verte infini d'un côté et l'extraordinaire Maison de l'autre, et ne se lassait jamais ni de l'un ni de l'autre. Elle reporta son attention sur le Métamorphe, curieuse. Elle ne connaissait pas beaucoup de gens comme elle. Connaissait-il Stella? Après tout, il devait y avoir des membres de la Famille qui ignoraient, justement, leur appartenance à un groupe si puissant, parmi les sept existants. En tout cas, ça ne lui ferait pas de mal de faire de nouvelles connaissances.



    [Désolée, j'avais aucune inspi -_-"]


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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Mar 15 Mar - 20:52 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

    Une jeune fille lui faisait face, il resta tétanisé devant l'inconnue qui n'avait rien de dangereux d'aprés ce qu'il avait pu observer...
    "Qu'est ce que..."
    Weïla se tenait devant lui, il n'en était pas convaincu mais aucune différence entre cette fille et celle qu'il avait quitté quelques heures plus tôt pour suivre cette étrange voie qui lui parlait...

    - Bonjour. Je m'appelle Nayla, et toi?
    Nayla ? Mais... pourquoi tout était encore si ressemblant ? Hormis l'apparence physique, la carrure changeait mais, pas seulement... Une énergie légèrement différente, quasiment identique à celle de Weïla parcourait le corps de l'inconnue. Troublé, il ne resta pourtant pas sans voie. Durant son aparté, Nayla avait lentement marché vers un surplomb qui s'aventurait dangereusement au dessus de la prairie, ses jambes balançaient maintenant dans le vide sans qu'Ezio ressente le moindre mouvement de panique dans son corps.
    -Weïla ?
    Il leva la tête pour voir Sbib, lui aussi perdu, se poser sur le rebord de la terrasse, près de la jeune fille.
    Peut être la confondait-il avec Weïla ?
    Non.
    Une certitude, Sbib était bien trop intelligent, même si ce petit colibris violet ne pouvait parler notre langue, il savait en revanche toutes les comprendre...
    Ezio fit quelques pas en arrière et s’essaya sur la table du centre de la pièce.
    "Merde"




    ///Oua ! Alors la j'ai fait fort...///


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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Jeu 17 Mar - 16:38 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant

    L'inconnu ne paraissait pas agressif ou méfiant. Un bon point, quand Nayla se rappelait de sa première rencontre, lors de sa première venue ici! Elle avait rencontré deux Cogistes alors qu'elle ignorait être Métamorphe, et ces dernières n'avaient rien trouver de mieux que de lui conseiller de se méfier des Cogistes. Tous le monde lui en disait du mal, et pourtant, elle n'avait toujours pas pu le constater de ses propres yeux, ce qui était pourtant essentiel pour qu'elle y croit. En attendant, l'inconnu était un Métamorphe, donc, a priori, elle n'avait rien à craindre. Et puis elle n'était pas de nature méfiante de toute façon.

    -Weïla ?

    La jeune fille fixa le garçon sans comprendre. "Weïla"? C'était quoi, un mot d'une autre langue? Ou un prénom? Alors qu'elle se posait encore la question et se demandait comment réagir, un colibris la distrait et la surpris. Que fichait cet animal ici? Etait-ce un Métamorphe? Il lui semblait que non, mais rien n'est moins sûr. Quoi qu'il en soit, elle repporta son attention sur l'inconnu.

    - De quoi parles-tu?

    Elle ne trouvait rien de mieux à dire que ça, les yeux froncés. Elle n'aimait pas ne pas savoir ce qui se passait, elle préférait comprendre la situation, à défaut de toujours la contrôler. Et avec tout ça, elle ne savait toujours pas qui était cette personne.

    - C'est le tiens? Demanda-t-elle en désignant l'oiseau.

    Elle pensa soudain que peut-être qu'il ne la comprenait pas. Après tout, elle savait qu'on pouvait pénétrer dans la Maison depuis de nombreux pays, voir probablement tous, alors pourquoi toutes ses rencontres parleraient-elles la même langue qu'elle? Nayla attendit donc que le Métamorphe parle pour savoir si elle pouvait ou non le comprendre, car elle étudiait pas mal les langues, sans pour autant oser essayer en plusieurs langues, car il pouvait aussi être juste surpris, et elle n'aimerait pas qu'on lui demande si elle parlait français alors qu'elle était française (enfin, franco-espagnole).
     

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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Mar 22 Mar - 20:31 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

    Ezio était assit sur le table et bien déterminé à y rester, dès le début, il avait bien sentit que la fille se tenant devant lui ne portait en elle aucun danger. Enfin de ce qu'il pouvait tirer du regard interrogatif qu'elle lui adressait.
    - De quoi parles-tu?
    Une première question, Ezio prit conscience de la stupidité de son premier dialogue avec Nayla et aussi le fait que son comportement étrange devait la troubler car elle semblait ne pas avoir vu tant de membres des autres familles.

    - C'est le tiens?
    Un sourire effacé, quasiment invisible miroita sur ses lèvres, il se ressaisit et oubliant le choc qui venait d'avoir lieu, il annonça d'une façon théâtrale:
    -Veuillez excuser mon manque de politesse, Ezio se penchant en avant et fit mine de tirer un chapeau, on m’appelle Ezio Aïeton, vous avez du sans doute déceler mon appartenance à la famille des méthamorphes et non, Sbib n'est pas mien et ne le sera jamais car il est libre d'aller et de faire ce qu'il souhaite.
    Ezio remit sur sa tête sont chapeau fantôme pour observer la tête de Neyla, Sbib quand à lui se posa sur l'épaule de la jeune fille et la regarda fixement d'un air las.
    Cette fois le sourire d'Ezio apparut visiblement et il acheva d’effacer le souvenir de son premier mot:

    -Puma ?
     

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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Jeu 24 Mar - 11:18 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant

    Décidemment, chaque rencontre est unique, d'abord par son lieu, ensuite par ses circonstances, et enfin par le caractère de chacun. Le Métamorphe semblait, à ses nouvelles paroles, comme se rendre compte qu'il avait été bizarre, ou quelque chose dans le genre. Nayla aurait pu avoir plusieurs informations sur ce qu'il ressentait grâce à ses sens, mais la plupart du temps, elle évitait, sinon, elle aurait vite fait de savoir des choses qui, si elle les avait laisser échappées, l'aurait fait paraître bizarre, et pas que... Le jeune, en tout cas, commença sa présentation de façon on peut plus théâtrale.

    -Veuillez excuser mon manque de politesse, on m’appelle Ezio Aïeton, vous avez du sans doute déceler mon appartenance à la famille des méthamorphes et non, Sbib n'est pas mien et ne le sera jamais car il est libre d'aller et de faire ce qu'il souhaite.

    Nayla sourit en le voyant faire, mais elle espérait juste qu'il ne continuerait pas trop à faire son intéressant ou ça la gaverait très vite. Le dit Sbib vint alors se poser sur son épaule en la fixant d'un air pas franchement joyeux. La jeune fille se fit la réflexion que cet animal était décidemment soit inconscient, soit vraiment courageux et/ou habitué aux humains pour se poser ainsi sur son épaule.

    -Puma ?

    Evidemment, il avait tout de suite su quel était son animal fétiche. Elle était de plus en plus attirée vers lui, même si elle tentait toujours de varier au maximum ses transformations pour ne pas se retrouver bloquée. Elle adorait son apparence de puma, mais elle serait vraiment déçue de ne plus pouvoir devenir oiseau ou loup... La jeune fille sourit à son tour.

    - Exact.

    Quelques secondes passèrent où Nayla ne se gêna plus pour utiliser ses sens, déjà surdéveloppés même sans être métamorphosée, histoire d'en savoir autant sur Ezio.

    - Panthère blanche?
     

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    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Aujourd'hui à 9:56 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message

    Ezio se doutait bien que la conversation dévirait à un moment ou un autre sur le sujet de préféré des métamorphes, la transformation. Depuis bien longtemps, il ne pouvait plus que se transformer en panthère blanche, massive, puissante, redoutable, il adorait plus que tout ce prédateur féroce et colossal, de ce qu'il avait put en voir, une panthère se tirait sans problèmes d'une situation dangereuse face à plus massif qu'elle. Vu son appartenance aux métamorphes, la puissance des métamorphoses se voyait encore augmenter ce qui rendait la dite bien plus dangereuse.
    Dès le premier regard, il avait vu qu'elle regrettait de ne plus pourvoir devenir aigle, ou autre chose. Une lueur imperceptible restait pourtant au fond de ses yeux...
    Sbib lui prit un air stupide, il comprenait très bien la suite de la discussion et en connaissait déjà la fin, il décolla vers la balustrade et s'y posa.

    - Exact.
    "Dans le mille"
    - Panthère blanche?
    "Est ce vraiment une question"
    -Non, panthère rose
     

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  • ça faisait longtemps... Vraiment... Trop...

    Ecrit sur le forum de RPG "l'Autre", mon premier RP ! Ezio va devenir célèbre !


    "Un rp pour les vacances" Le dimanche 20 Février 2011 vers 9 heures 58;huseau horaire standard sur le site de RPG l'Autre.


     

       

    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Mer 23 Fév - 18:56 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message

    Le cogiste tituba... Il regarda d'un regard vide Ezio avant de former une phrase incompréhensible, dont seulement quelques mots en ressortaient, faiblement, sa bouche s'ouvrit et il laissa jaillire: 
    -Tu est... mort.
    Il s’effondra lourdement sur le sol enneigé, Ezio parut s'en désintéresser rapidement et pivota d'un bloc vers une échelle pitoyable dans le fond de la ruelle...
    -Il est là, tuer le métamorphe ! 
    Une dizaine de cogistes s'engouffraient dans la ruelle, tandis qu'Ezio grimpait rapidement à l'échelle qui menaçait de rompre chaque secondes.
    "Mais que font-ils ici ? Il n'y avait jamais eut tant de cogistes dans Marseille !"
    Tandis que les questions tapaient dans sa tête, il arrivât sur le toit de tuiles d'un vieux immeuble.
    Il n'avait pas peur, au contraire, une confiance étonnante palpait dans ses veines tandis qu'il franchissait des écart entre les toits toujours plus grand.
    "Sont-ils vraiment cogistes ? Si oui alors pourquoi ne le ils n'allaient pas au contact comme le font tous les cogistes ?"
    -Tu ne trouve pas que ça fait beaucoup de questions pour ton cas ?
    Sbib, sont colibris volait près de lui...
    -Bien sûr mais je m'en p...
    Un bras lui coupa le souffle, Ezio fit une vrille et se retrouva face à un homme vêtu de blanc:
    -Bonsoir Ezio.
    -Qu.. Qui êtes vous ?
    Le mal tordait toujours sont ventre, le choc avait été brutal et les tuiles glacés.
    -Je suis ta mort...

    Sans attendre d'avantage, l'homme se projeta en avant avec une vivacité que sa taille ne laissait pas supposer.
    Rapidité sidérante, bien digne là du pourvoir ancestral des cogiste, un coup inévitable qu'Ezio évita de justesse sans recourir à la métamorphose. Il se réceptionna sur une cheminée ou il sonda les environs, plus aucun cogistes ne le suivait, seulement lui et sa mort.
    "La mort peut-elle mourir ?"
    Il allait le savoir.
    Un autre coup, puis deux, puis trois que Ezio parvenait mal à contenir, il n'avait jamais vu de cogiste aussi puissant.
    La mort frappa de sa mais plate, une formidable impulsion vint bousculer Ezio qui se plaqua contre les tuiles, 15 mètres plus loin...
    Lentement, l'homme se rapprochait d'Ezio tandis que la douleur hurlait dans tout sont corps.
    Il se transforma, non, tenta, il ne pouvait plus.
    -Inutiles efforts, lui lança la mort
    Il se recroquevilla, tenta encore...
    -Inutiles...
    Échoua.
    -Et ridicules
    "Apprend à voir le temps des choses, tout comme moi"
    Le coup de l'homme fusa quand la dernière consonne fut envolée, sa voie, auparavant rassurante avait pris une tournure aussi froide que les tuiles sur lesquels Ezio glissait.
    "Le temps des choses"
    Sur lesquels il... glissait.
    Sa main décrivit une courbe vers la jambe de l'homme en blanc, un coup d'entrainement destiner à une feinte, alors que la mort pensait recevoir un poing dans le côtes, contrairement à ce qu'il attendait, la paume d'Ezio vint percuter sont tibias.
    Sa jambe dérapa sur les tuiles gelés, il se retrouva en position de faiblesse, tentant de se rattraper pour ne pas chuter... Alors une masse plus blanche que sa veste le percuta, des griffes mille fois plus dangereuses que des rasoirs lui lacérèrent les épaules tandis qu'une mâchoire destructrice s'enfonça dans sa nuque.
    La mort bascula du haut de l'immeuble tandis qu'Ezio se servait du corps sans vie pour retomber sur le toit.
    Sans attendre, il fonça vers la villa "Domina" qui surplombait Marseille, à l'écart de la ville grouillante.

    Ezio sortit de la salle de bain, il avança dans le couloir en direction de sa chambre, c'est alors qu'il vit un imposant colt, un huit coups particulièrement meurtrier posé sur un étui en cuir noir, le regard d'Ezio se détourna du colt pour se fixer sur un porte lisse et massive sans aucune poignée, noire, sans aucun reflet mal grès les nombreuses appliques murales et les tubes de néons qui cheminaient sous le sol vitré.
    Ezio saisit le colt et s'avança vers l'énorme monument encastré dans le mur.
    -Pense-tu que c'est bien le moment de partir ?
    Sbib avait parlé, bien sur que Weïla ne l'avait plus vu depuis deux ans mais il devait s'y rendre, une certitude encrée profondément dans sa tête lui hurlait de d'y aller.
    -Elle comprendra...
    Sans attendre, il déposa sa main au centre de la porte noire; celle ci traça une contour bleu, un cercle autour de la main d'Ezio, bientôt suivi d'une multitude de symboles étranges.
    Dans un bruit de tremblement de terre, la porte s’enfonça doucement dans le sol, alors le sol fait de vitres laisser place à de nombreuses plaques de deux mètres dur deux qui semblaient fixés dans le sol rocheux.
    Plus loin, en avançant dans le couloir peut éclairé, sur les panneaux, de nombreuses armes en tout genres parcouraient les murs, des magnums, des mitrailleuses, des fusils d'assaut, M4A1, SCAR-H, P90...
    Encore plus loin, le couloir débouchait sur une salle imposante de majesté, trois énormes courbures métalliques parcouraient les parois arrondies de sorte qu'un énorme dôme de métal et de cristaux blancs surplombait la pièce. Les lumières semblant provenir de centaines d'endroit différents...
    Sans y prêter attention, Ezio descendu de la balustrade qui surplombait un irréaliste complexe mêlé de pierre polie et de métal sombre, au centre, une table de verre rétro éclairée sur lequel reposait un écran fin semblant venir d'un rêve, Ezio écrivit quelques caractères avant de se retourner de saisir Eïa, son sabre, posé sur un comptoir suspendu au mur, il le rangea dans un étui noir et le reposa immédiatement.
    Il s’habilla avec une tenue rangée soigneusement dans un renfoncement du mur.
    "Vite..."
    Après s'en être vêtu et avoir posé sa chemise sur le même comptoir, il fixa Eïa dans son dos et un colt, massif, autour de sa taille. Il fixa sur sa ceinture quelques sacoches.

    Ezio saisit son sac et avança dans le couloir, derrière lui, la porte massive e levait et interdisait l'accès au sanctuaire. Plus loin, il descendit dans un escaliers étroit qui débouché sur une terrasse en contrebas de la villa Domina, une vue magnifique sur une forêt de pins et plus loin, la mer d'un bleu profond et quelques îles au loin, la végétation était tel que la ville disparaissait complètement derrière.
    Il resta quelques secondes à contempler ce spectacle et tourna la tête en direction du mur d'où il venait de sortir, une lumière étrangement bleutée tracé les contours de ce qui ressemblait à une porte.
    "Plus vite..."
    Les contours se redessinèrent, une poignée commençait à se dessiner et bientôt un cadre blanc... Quelques secondes plus tard, Ezio pu distinguer une porte semblant venir d'un rêve et instable. Il posa une main sur le panneau de bois blanc et de l'autre, tourna lentement la poignée. La porte semblant déjà plus réelle, il la poussa.

    Les couloirs n'en finissait plus, des portes, encore, plus encore et presque aucun meuble... On passait de style à la mesure que les pièces défilaient et la lumière changeait tout autant. Ezio déboula dans une pièce gigantesque par rapport à toutes les autres, cela faisait bientôt deux heures qu'il marchait et il s'effondra sur un fauteuil de cuir vieilli. La pièce dans laquelle il se trouvait était immense, de plus, de nombreux meubles parcouraient les murs et un canapé ainsi qu'une petite table qui trônait en sont centre. Plus loin, une énorme terrasse surplombait une immense verdure, irréaliste. Un vent chaud rentrait par de larges baies vitrés complètement ouvertes.
    Ezio ferma les yeux, quelques secondes qui devinrent minutes...
    "Debout"
    La voie était un ordre.
    Ezio se leva, il marcha lentement vers la terrasse.

    Un métamorphe.

    Un métamorphe que je ne ne connaissais pas.

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  •  Je suis enfin revenu de longs mois d'absence...

    Et j'ais écrit un beau truc sur un site de RPG qui parle de l'Autre ( Pierre Bottero !)


    Le lundi 31 Janvier 2011 vers 20h 53 sur le site de rpg "L'Autre":


     

     

     

     

     I – Identité



    Nom : Aiëton
    Prénom : Ezio
    Age: 21
    Famille :métamorphes (dragon de komodo)
    Nationalité : Français et Africain

    II - Descriptions :


    Description physique : 
    Ezio mesure environ 1m 76, ses cheveux sont d'un blond brunâtre qui tire légèrement sur le gris, au couché du soleil, ils se teignent en blanc éclatant. Une agilité surprenante coule dans ses veines aussi bien lorsqu'il reste humain que quand il devient un dragon de komodo aux défenses surprenantes. Tireur d'élite, il manie aussi bien l'arc qui ne le quitte jamais qu'un fusils d'assaut ou de précision; il pratique de la moto cross comme un professionnel, il est aussi un as en informatique et un hacker de renommée.
    Ses années de pratique du sabre le rendent un rival de choix pour qui pratique ce sport.
    Sont sabre ne le quitte jamais ainsi qu'un petit colibris du nom de Sbib, ce dernier possède la faculté de retrouver Ezio presque partout sans le monde. Sbib est violet sur son ventre et rouge carmin sur ses flancs.
    Il a appeler sont sabre Eïa, et ne l'appelle plus que par sont nom. 7 lignes minimum

    Description de caractère : 
    Impulsif, provocateur et obstiné, il n'écoute que rarement les conseils venants des autres personnes et adore juger ses adversaires pendant quelques secondes avant le combat.
    Pour le résonner, il faut le connaître depuis bien longtemps ou qu'il vous juge digne de confiance.
    Il loue une haine incroyable envers les cogistes, du moins ceux qui ont tués ses parents. Il a du mal à supporté leur arrogance mais arrive quand même à se contrôler en leur présence.
    Il possède en plus du don de métamorphe le pouvoir de communiquer mentalement avec les animaux.
    Ne vous étonnez pas si il finit vos phrases quelquefois et en particulier celles de ceux qu'il connait bien.
    Il adore s'exposer au danger et prendre des risques, mais sais toutefois rester prudent et comprend quand sont adversaire est trop fort pour lui.
    Son impulsivité cache une énorme sagesse d'esprit et il se calme immédiatement quand Weïla, sa meilleure amie, celle qu'il considère comme sa grande soeur, est avec lui. Il tente souvent de résonner les autre et d'éviter le combat.
    Il est extrêmement méfiant depuis que de nombreux cogistes on tentés de le tuer7 lignes minimum

    III - Histoire :

    Histoire : 
    L'histoire d'Ezio n'est pas si simple que ça...
    Né à Marseille, il ne découvre sont appartenance aux méthamorphes que lorsqu'un mystérieux guide le contacta alors qu'il effectuait un stage en Afrique Centrale.
    Ses deux parents sont morts tués par des Cogistes auxquels il loue un haine incroyable...
    Il peut communiquer mentalement avec les animaux aussi bien qu'oralement et un petit colibris violet et rouge carmin le suit toujours, c'est un colibris centenaire, ce derniers se nomme Sbib et il lui arrive de partir pendant longtemps... Héritage sa famille: il le protège comme il protège la protège. 
    A 15 ans, il part dans un village nommé Ouirzat dans l'espoir d'y trouver des renseignements sur sa famille.
    Pas loin de ce qu'il cherchait, il rencontre Weïla. Ezio qui commençait alors à manquer de ressources apprend qu'il appartient à une puissante branche des métamorphes et que ses parents contrôlaient quelques gisements de nickel et avait aussi une emprise sur le marché de la platine...
    Cette Weïla lui apprend que ces entreprises sont au nom d'Ezio et qu'elle était chargée de s'en occuper par ses parents, il noua un lien fort avec celle ci et la considère comme sa soeur aînée.
    Soucis résolus, il entrepris de découvrir le plus de porte qu'il pourrait, ces dernières l'intriguant plus que tous les mystère de l'Ailleurs. Il en regrettant presque de ne pas être batisseur.
    Enfin, une chose lui importe plus que découvrir les mystères de l'Ailleurs...
    Empêcher la guerre entre les familles même si cela l'étonne autant que ceux à qui il le révèle, au mieux, la réguler.
    Enfin, lors de ses 19 ans, il fut agresser par un groupe de cogistes près de Ouirzat alors qu'il se dirigeait vers le village qui l'avait reçut lors de son stage, ils recommencèrent à Paris, Marseille et dans une ville fantôme en Amérique vers le Nord de Los Angeles.
    Une voix, très faible lui souffle parfois des phrases dont le sens lui échappe certaines fois.

    Il ne revu plus jamais le guide qui l'avait amener jusqu'ici...
    Jamais.

    "Dans cette guerre, ceux qui hésitent sont morts..."
    15 lignes minimum


    Autre : 
    ...La grosse berline noire se stoppa, la porte s'ouvrit et Ezio en jaillit et se précipitait vers le surplomb rocheux qui faisait face au petit village encastré dans la falaise et perdu dans la flore locale. Le soleil se couchant permettait encore de voir l'horizon complètement aplanit:
    -J'adore cet endroit, s’exclamât Ezio à haute voie en visant du regard le noyer noir à une dizaine de mètres de lui
    -Moi aussi, lui répondit une voie dans son dos
    Elio sursauta; d'un bond il se retourna:
    -Weïla !
    -Salut Ezio... lança Weïla
    Elle tenait dans sa main une légère mallette mate et vernie et de l'autre un arc à la puissante courbure.
    Ezio s'approcha avec enthousiasme tandis que Weïla se contenta de mettre un pied en avant. En quelques secondes il se laissa tomber dans ses bras...
    -Deux longues années! Sa fait deux ans que tu cours les portes de la maison dans l'Ailleurs, s'exclama Weïla, quand va tu arrêter ?
    -Si tu veut on peut aller manger une pizza en Italie ce soir, un sourire goguenard affiché sur sont visage tira une grimace compréhensive à Weïla.
    -Ok, ok, j'ais compris, elle stoppa quelques seconde sa tirade pour plonger ses yeux violets dans le regard vert d'Ezio, sa fait deux ans et...
    -...Je n'ait pas envi de parler de quoi que ce soit qui aborde la guerre, répondit Ezio
    La réponse avait été tellement naturelle qu'elle tira un frisson dans le dos de Weïla, comment pouvait-il toujours deviner ce qu'elle allait dire? Quoi qu'il en fut, en toute réponse à sa requête intérieure, Ezio avait remarquer l'arc magnifiquement recourbé qui se balancer doucement dans la main de Weïla. Il le saisit sans qu'elle ne put esquisser le moindre geste et dégaina une des deux flèches fixées au pointes.
    -Ouah... commença t-il, il est magni...
    Ah ce moment une détonation typique d'un fusil de précision, de nombreux oiseaux s'envolèrent par dessus les branches du noyer noir dont le tronc explosa d'un bruit sec.
    -Sniper ! Hurla Weïla.
    -A moins qu'on chasse au gros calibre ici... Huumm, en tout cas c'est du gros, lança t-il en sa direction, je pense que j'avais compris !
    -Sa ne veut rien d...
    Une autre détonation retentit et aussitôt suivie d'un souffle de sable et d'un cliquetis de douille sonore qui s'écrase sur le sable, visiblement ce sniper ne savait pas viser. Cinq secondes s'étaient écoulés depuis la première détonation, pour juger sont adversaire, il ne lui en fallait pas plus, il avait bien conscience qu'il avait risquer sa vie en le jugeant ainsi mais il choisit la sixième seconde pour agir.
    Maintenant il savait qu'il fallait agir...
    Vite.
    Il bondit en direction de la berline qui n'avait pas encore démarrée, dos à la carrosserie vernie mate, il empoigna plus fortement sont arc et marmonna:
    -Deux ans que je n'ais plus tiré...
    D'un geste unique et fluide il pivota sur sont flanc droit, du côté le plus exposé, il savait qu'un entrainement sniper standard ne prévoyez pas une tempête de sable... Il sourit en voyant la masse sombre qui se découpée sur le ciel marbré de violet, d'orange et de rouge.
    Un flèche, parfaitement ajustée fusât à travers le nuage de sable sans aucune résistance et,s avec un son répugnant, se ficha dans la tête d'un homme à couver dans le sable.
    Le spectacle répugnant de la carcasse inanimée se traînant dans le désert terreux ne tira aucun sentiment à Ezio qui en se contentant de se retourner vers Weïla, mis la deuxième flèche en place et en bandant la corde, tira la flèche jusqu’à sa joue.
    Environ une vingtaine de secondes s'écoulèrent avant que d'un geste uniforme il pivota vers la jeune femme brune derrière lui qui n'avait pas bougée d'un mètre durant toute la scène, sur sont visage pas la moindre marque d'étonnement mais un sourire radieux qui lui en tira un à peut près tout aussi radieux...
    L'action n'avait pas durée plus d'une minute.
    -Je pense que je sais encore viser, conclu t-il.


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