• ça faisait longtemps... Vraiment... Trop...

    Ecrit sur le forum de RPG "l'Autre", mon premier RP ! Ezio va devenir célèbre !


    "Un rp pour les vacances" Le dimanche 20 Février 2011 vers 9 heures 58;huseau horaire standard sur le site de RPG l'Autre.


     

       

    MessageSujet: Re: Une prarie infini, un esprit tourmenté [Ezio Aiëton]   Mer 23 Fév - 18:56 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message

    Le cogiste tituba... Il regarda d'un regard vide Ezio avant de former une phrase incompréhensible, dont seulement quelques mots en ressortaient, faiblement, sa bouche s'ouvrit et il laissa jaillire: 
    -Tu est... mort.
    Il s’effondra lourdement sur le sol enneigé, Ezio parut s'en désintéresser rapidement et pivota d'un bloc vers une échelle pitoyable dans le fond de la ruelle...
    -Il est là, tuer le métamorphe ! 
    Une dizaine de cogistes s'engouffraient dans la ruelle, tandis qu'Ezio grimpait rapidement à l'échelle qui menaçait de rompre chaque secondes.
    "Mais que font-ils ici ? Il n'y avait jamais eut tant de cogistes dans Marseille !"
    Tandis que les questions tapaient dans sa tête, il arrivât sur le toit de tuiles d'un vieux immeuble.
    Il n'avait pas peur, au contraire, une confiance étonnante palpait dans ses veines tandis qu'il franchissait des écart entre les toits toujours plus grand.
    "Sont-ils vraiment cogistes ? Si oui alors pourquoi ne le ils n'allaient pas au contact comme le font tous les cogistes ?"
    -Tu ne trouve pas que ça fait beaucoup de questions pour ton cas ?
    Sbib, sont colibris volait près de lui...
    -Bien sûr mais je m'en p...
    Un bras lui coupa le souffle, Ezio fit une vrille et se retrouva face à un homme vêtu de blanc:
    -Bonsoir Ezio.
    -Qu.. Qui êtes vous ?
    Le mal tordait toujours sont ventre, le choc avait été brutal et les tuiles glacés.
    -Je suis ta mort...

    Sans attendre d'avantage, l'homme se projeta en avant avec une vivacité que sa taille ne laissait pas supposer.
    Rapidité sidérante, bien digne là du pourvoir ancestral des cogiste, un coup inévitable qu'Ezio évita de justesse sans recourir à la métamorphose. Il se réceptionna sur une cheminée ou il sonda les environs, plus aucun cogistes ne le suivait, seulement lui et sa mort.
    "La mort peut-elle mourir ?"
    Il allait le savoir.
    Un autre coup, puis deux, puis trois que Ezio parvenait mal à contenir, il n'avait jamais vu de cogiste aussi puissant.
    La mort frappa de sa mais plate, une formidable impulsion vint bousculer Ezio qui se plaqua contre les tuiles, 15 mètres plus loin...
    Lentement, l'homme se rapprochait d'Ezio tandis que la douleur hurlait dans tout sont corps.
    Il se transforma, non, tenta, il ne pouvait plus.
    -Inutiles efforts, lui lança la mort
    Il se recroquevilla, tenta encore...
    -Inutiles...
    Échoua.
    -Et ridicules
    "Apprend à voir le temps des choses, tout comme moi"
    Le coup de l'homme fusa quand la dernière consonne fut envolée, sa voie, auparavant rassurante avait pris une tournure aussi froide que les tuiles sur lesquels Ezio glissait.
    "Le temps des choses"
    Sur lesquels il... glissait.
    Sa main décrivit une courbe vers la jambe de l'homme en blanc, un coup d'entrainement destiner à une feinte, alors que la mort pensait recevoir un poing dans le côtes, contrairement à ce qu'il attendait, la paume d'Ezio vint percuter sont tibias.
    Sa jambe dérapa sur les tuiles gelés, il se retrouva en position de faiblesse, tentant de se rattraper pour ne pas chuter... Alors une masse plus blanche que sa veste le percuta, des griffes mille fois plus dangereuses que des rasoirs lui lacérèrent les épaules tandis qu'une mâchoire destructrice s'enfonça dans sa nuque.
    La mort bascula du haut de l'immeuble tandis qu'Ezio se servait du corps sans vie pour retomber sur le toit.
    Sans attendre, il fonça vers la villa "Domina" qui surplombait Marseille, à l'écart de la ville grouillante.

    Ezio sortit de la salle de bain, il avança dans le couloir en direction de sa chambre, c'est alors qu'il vit un imposant colt, un huit coups particulièrement meurtrier posé sur un étui en cuir noir, le regard d'Ezio se détourna du colt pour se fixer sur un porte lisse et massive sans aucune poignée, noire, sans aucun reflet mal grès les nombreuses appliques murales et les tubes de néons qui cheminaient sous le sol vitré.
    Ezio saisit le colt et s'avança vers l'énorme monument encastré dans le mur.
    -Pense-tu que c'est bien le moment de partir ?
    Sbib avait parlé, bien sur que Weïla ne l'avait plus vu depuis deux ans mais il devait s'y rendre, une certitude encrée profondément dans sa tête lui hurlait de d'y aller.
    -Elle comprendra...
    Sans attendre, il déposa sa main au centre de la porte noire; celle ci traça une contour bleu, un cercle autour de la main d'Ezio, bientôt suivi d'une multitude de symboles étranges.
    Dans un bruit de tremblement de terre, la porte s’enfonça doucement dans le sol, alors le sol fait de vitres laisser place à de nombreuses plaques de deux mètres dur deux qui semblaient fixés dans le sol rocheux.
    Plus loin, en avançant dans le couloir peut éclairé, sur les panneaux, de nombreuses armes en tout genres parcouraient les murs, des magnums, des mitrailleuses, des fusils d'assaut, M4A1, SCAR-H, P90...
    Encore plus loin, le couloir débouchait sur une salle imposante de majesté, trois énormes courbures métalliques parcouraient les parois arrondies de sorte qu'un énorme dôme de métal et de cristaux blancs surplombait la pièce. Les lumières semblant provenir de centaines d'endroit différents...
    Sans y prêter attention, Ezio descendu de la balustrade qui surplombait un irréaliste complexe mêlé de pierre polie et de métal sombre, au centre, une table de verre rétro éclairée sur lequel reposait un écran fin semblant venir d'un rêve, Ezio écrivit quelques caractères avant de se retourner de saisir Eïa, son sabre, posé sur un comptoir suspendu au mur, il le rangea dans un étui noir et le reposa immédiatement.
    Il s’habilla avec une tenue rangée soigneusement dans un renfoncement du mur.
    "Vite..."
    Après s'en être vêtu et avoir posé sa chemise sur le même comptoir, il fixa Eïa dans son dos et un colt, massif, autour de sa taille. Il fixa sur sa ceinture quelques sacoches.

    Ezio saisit son sac et avança dans le couloir, derrière lui, la porte massive e levait et interdisait l'accès au sanctuaire. Plus loin, il descendit dans un escaliers étroit qui débouché sur une terrasse en contrebas de la villa Domina, une vue magnifique sur une forêt de pins et plus loin, la mer d'un bleu profond et quelques îles au loin, la végétation était tel que la ville disparaissait complètement derrière.
    Il resta quelques secondes à contempler ce spectacle et tourna la tête en direction du mur d'où il venait de sortir, une lumière étrangement bleutée tracé les contours de ce qui ressemblait à une porte.
    "Plus vite..."
    Les contours se redessinèrent, une poignée commençait à se dessiner et bientôt un cadre blanc... Quelques secondes plus tard, Ezio pu distinguer une porte semblant venir d'un rêve et instable. Il posa une main sur le panneau de bois blanc et de l'autre, tourna lentement la poignée. La porte semblant déjà plus réelle, il la poussa.

    Les couloirs n'en finissait plus, des portes, encore, plus encore et presque aucun meuble... On passait de style à la mesure que les pièces défilaient et la lumière changeait tout autant. Ezio déboula dans une pièce gigantesque par rapport à toutes les autres, cela faisait bientôt deux heures qu'il marchait et il s'effondra sur un fauteuil de cuir vieilli. La pièce dans laquelle il se trouvait était immense, de plus, de nombreux meubles parcouraient les murs et un canapé ainsi qu'une petite table qui trônait en sont centre. Plus loin, une énorme terrasse surplombait une immense verdure, irréaliste. Un vent chaud rentrait par de larges baies vitrés complètement ouvertes.
    Ezio ferma les yeux, quelques secondes qui devinrent minutes...
    "Debout"
    La voie était un ordre.
    Ezio se leva, il marcha lentement vers la terrasse.

    Un métamorphe.

    Un métamorphe que je ne ne connaissais pas.

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  •  Je suis enfin revenu de longs mois d'absence...

    Et j'ais écrit un beau truc sur un site de RPG qui parle de l'Autre ( Pierre Bottero !)


    Le lundi 31 Janvier 2011 vers 20h 53 sur le site de rpg "L'Autre":


     

     

     

     

     I – Identité



    Nom : Aiëton
    Prénom : Ezio
    Age: 21
    Famille :métamorphes (dragon de komodo)
    Nationalité : Français et Africain

    II - Descriptions :


    Description physique : 
    Ezio mesure environ 1m 76, ses cheveux sont d'un blond brunâtre qui tire légèrement sur le gris, au couché du soleil, ils se teignent en blanc éclatant. Une agilité surprenante coule dans ses veines aussi bien lorsqu'il reste humain que quand il devient un dragon de komodo aux défenses surprenantes. Tireur d'élite, il manie aussi bien l'arc qui ne le quitte jamais qu'un fusils d'assaut ou de précision; il pratique de la moto cross comme un professionnel, il est aussi un as en informatique et un hacker de renommée.
    Ses années de pratique du sabre le rendent un rival de choix pour qui pratique ce sport.
    Sont sabre ne le quitte jamais ainsi qu'un petit colibris du nom de Sbib, ce dernier possède la faculté de retrouver Ezio presque partout sans le monde. Sbib est violet sur son ventre et rouge carmin sur ses flancs.
    Il a appeler sont sabre Eïa, et ne l'appelle plus que par sont nom. 7 lignes minimum

    Description de caractère : 
    Impulsif, provocateur et obstiné, il n'écoute que rarement les conseils venants des autres personnes et adore juger ses adversaires pendant quelques secondes avant le combat.
    Pour le résonner, il faut le connaître depuis bien longtemps ou qu'il vous juge digne de confiance.
    Il loue une haine incroyable envers les cogistes, du moins ceux qui ont tués ses parents. Il a du mal à supporté leur arrogance mais arrive quand même à se contrôler en leur présence.
    Il possède en plus du don de métamorphe le pouvoir de communiquer mentalement avec les animaux.
    Ne vous étonnez pas si il finit vos phrases quelquefois et en particulier celles de ceux qu'il connait bien.
    Il adore s'exposer au danger et prendre des risques, mais sais toutefois rester prudent et comprend quand sont adversaire est trop fort pour lui.
    Son impulsivité cache une énorme sagesse d'esprit et il se calme immédiatement quand Weïla, sa meilleure amie, celle qu'il considère comme sa grande soeur, est avec lui. Il tente souvent de résonner les autre et d'éviter le combat.
    Il est extrêmement méfiant depuis que de nombreux cogistes on tentés de le tuer7 lignes minimum

    III - Histoire :

    Histoire : 
    L'histoire d'Ezio n'est pas si simple que ça...
    Né à Marseille, il ne découvre sont appartenance aux méthamorphes que lorsqu'un mystérieux guide le contacta alors qu'il effectuait un stage en Afrique Centrale.
    Ses deux parents sont morts tués par des Cogistes auxquels il loue un haine incroyable...
    Il peut communiquer mentalement avec les animaux aussi bien qu'oralement et un petit colibris violet et rouge carmin le suit toujours, c'est un colibris centenaire, ce derniers se nomme Sbib et il lui arrive de partir pendant longtemps... Héritage sa famille: il le protège comme il protège la protège. 
    A 15 ans, il part dans un village nommé Ouirzat dans l'espoir d'y trouver des renseignements sur sa famille.
    Pas loin de ce qu'il cherchait, il rencontre Weïla. Ezio qui commençait alors à manquer de ressources apprend qu'il appartient à une puissante branche des métamorphes et que ses parents contrôlaient quelques gisements de nickel et avait aussi une emprise sur le marché de la platine...
    Cette Weïla lui apprend que ces entreprises sont au nom d'Ezio et qu'elle était chargée de s'en occuper par ses parents, il noua un lien fort avec celle ci et la considère comme sa soeur aînée.
    Soucis résolus, il entrepris de découvrir le plus de porte qu'il pourrait, ces dernières l'intriguant plus que tous les mystère de l'Ailleurs. Il en regrettant presque de ne pas être batisseur.
    Enfin, une chose lui importe plus que découvrir les mystères de l'Ailleurs...
    Empêcher la guerre entre les familles même si cela l'étonne autant que ceux à qui il le révèle, au mieux, la réguler.
    Enfin, lors de ses 19 ans, il fut agresser par un groupe de cogistes près de Ouirzat alors qu'il se dirigeait vers le village qui l'avait reçut lors de son stage, ils recommencèrent à Paris, Marseille et dans une ville fantôme en Amérique vers le Nord de Los Angeles.
    Une voix, très faible lui souffle parfois des phrases dont le sens lui échappe certaines fois.

    Il ne revu plus jamais le guide qui l'avait amener jusqu'ici...
    Jamais.

    "Dans cette guerre, ceux qui hésitent sont morts..."
    15 lignes minimum


    Autre : 
    ...La grosse berline noire se stoppa, la porte s'ouvrit et Ezio en jaillit et se précipitait vers le surplomb rocheux qui faisait face au petit village encastré dans la falaise et perdu dans la flore locale. Le soleil se couchant permettait encore de voir l'horizon complètement aplanit:
    -J'adore cet endroit, s’exclamât Ezio à haute voie en visant du regard le noyer noir à une dizaine de mètres de lui
    -Moi aussi, lui répondit une voie dans son dos
    Elio sursauta; d'un bond il se retourna:
    -Weïla !
    -Salut Ezio... lança Weïla
    Elle tenait dans sa main une légère mallette mate et vernie et de l'autre un arc à la puissante courbure.
    Ezio s'approcha avec enthousiasme tandis que Weïla se contenta de mettre un pied en avant. En quelques secondes il se laissa tomber dans ses bras...
    -Deux longues années! Sa fait deux ans que tu cours les portes de la maison dans l'Ailleurs, s'exclama Weïla, quand va tu arrêter ?
    -Si tu veut on peut aller manger une pizza en Italie ce soir, un sourire goguenard affiché sur sont visage tira une grimace compréhensive à Weïla.
    -Ok, ok, j'ais compris, elle stoppa quelques seconde sa tirade pour plonger ses yeux violets dans le regard vert d'Ezio, sa fait deux ans et...
    -...Je n'ait pas envi de parler de quoi que ce soit qui aborde la guerre, répondit Ezio
    La réponse avait été tellement naturelle qu'elle tira un frisson dans le dos de Weïla, comment pouvait-il toujours deviner ce qu'elle allait dire? Quoi qu'il en fut, en toute réponse à sa requête intérieure, Ezio avait remarquer l'arc magnifiquement recourbé qui se balancer doucement dans la main de Weïla. Il le saisit sans qu'elle ne put esquisser le moindre geste et dégaina une des deux flèches fixées au pointes.
    -Ouah... commença t-il, il est magni...
    Ah ce moment une détonation typique d'un fusil de précision, de nombreux oiseaux s'envolèrent par dessus les branches du noyer noir dont le tronc explosa d'un bruit sec.
    -Sniper ! Hurla Weïla.
    -A moins qu'on chasse au gros calibre ici... Huumm, en tout cas c'est du gros, lança t-il en sa direction, je pense que j'avais compris !
    -Sa ne veut rien d...
    Une autre détonation retentit et aussitôt suivie d'un souffle de sable et d'un cliquetis de douille sonore qui s'écrase sur le sable, visiblement ce sniper ne savait pas viser. Cinq secondes s'étaient écoulés depuis la première détonation, pour juger sont adversaire, il ne lui en fallait pas plus, il avait bien conscience qu'il avait risquer sa vie en le jugeant ainsi mais il choisit la sixième seconde pour agir.
    Maintenant il savait qu'il fallait agir...
    Vite.
    Il bondit en direction de la berline qui n'avait pas encore démarrée, dos à la carrosserie vernie mate, il empoigna plus fortement sont arc et marmonna:
    -Deux ans que je n'ais plus tiré...
    D'un geste unique et fluide il pivota sur sont flanc droit, du côté le plus exposé, il savait qu'un entrainement sniper standard ne prévoyez pas une tempête de sable... Il sourit en voyant la masse sombre qui se découpée sur le ciel marbré de violet, d'orange et de rouge.
    Un flèche, parfaitement ajustée fusât à travers le nuage de sable sans aucune résistance et,s avec un son répugnant, se ficha dans la tête d'un homme à couver dans le sable.
    Le spectacle répugnant de la carcasse inanimée se traînant dans le désert terreux ne tira aucun sentiment à Ezio qui en se contentant de se retourner vers Weïla, mis la deuxième flèche en place et en bandant la corde, tira la flèche jusqu’à sa joue.
    Environ une vingtaine de secondes s'écoulèrent avant que d'un geste uniforme il pivota vers la jeune femme brune derrière lui qui n'avait pas bougée d'un mètre durant toute la scène, sur sont visage pas la moindre marque d'étonnement mais un sourire radieux qui lui en tira un à peut près tout aussi radieux...
    L'action n'avait pas durée plus d'une minute.
    -Je pense que je sais encore viser, conclu t-il.


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    En effectuant une recherche sur Wikipédia.
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